Communiqué

Le séminaire qui se tient ce jour à l’Université de Neuchâtel propose d’acquérir des outils « dernier cri » pour promouvoir la motivation au travail, à tous les niveaux. Les organisateurs s’appuient sur les études psychologiques les plus récentes pour enseigner des outils performants. Les entreprises les plus renommées figurent parmi les participants.

Etes-vous agacé quand l’un de vos collaborateurs se précipite pour résoudre un problème sans avoir, au préalable, suffisamment réfléchi à la manière de procéder ? Etes-vous au contraire énervé par ceux qui se perdent en hésitations avant de se décider, enfin, à affronter le problème ?

Nous avons des préférences différentes en matière de modes d’action et, dans une certaine mesure, nous n’y pouvons rien. Comment tenir compte des autres façons de faire et assurer ainsi une bonne coopération au sein de l’équipe ?

Apparemment, de nombreuses entreprises (et pas des moindres ! voir la liste ci-dessous) se sentent concernées par la question. Le séminaire organisé par l’Institut de psychologie du travail et des organisations ce 15 mai 2012 promet d’apporter à ses participants une nouvelle vision de la motivation susceptible de les aider à identifier les collaborateurs motivés lors des entretiens d’embauche, d’entretenir cette motivation dans un monde de l’entreprise en constante évolution et enfin d’améliorer cette motivation au travers de sa position de cadre dirigeant.

Pour y parvenir, les organisateurs prônent deux méthodes particulièrement efficaces à leurs yeux.

La théorie des interactions des systèmes de personnalité ou théorie PSI (Persönlichkeits-System-Interaktionen) se base sur les dernières connaissances acquises en neuropsychologie, en psychologie du travail et de la motivation, ainsi qu’en spychodignostic.

La méthode du diagnostic de personnalité d’Osnabrück ou méthode TOP (Trainingsbegleitende
Osnabrücker Persönlichkeitsdiagnostik) fournit également divers outils pratiques utilisables au quotidien.

Etres doués de raison, nous oublions trop souvent que près de 90 % de nos actions sont guidées par notre inconscient. Comment ce dernier opère-t-il pour transformer notre motivation en action ?

Participants inscrits au début mai (liste non exhaustive) : ABB, Banque Cantonale Vaudoise, Cartier, Credit Suisse, Julius Bär, Longines, Nestlé, Nespresso, Pictet, Swatch Group, Swisscom, Synthes, TA-Media/Edipresse, Longines, UBS, Zurich…

Séminaire « Les phases de la motivation, De la raison à l’action », bâtiment principal de l’Université de Neuchâtel, mardi 15 mai 2012, de 9h à 13h30.

  Le communiqué au format pdf